Retrouvez les questions les plus fréquentes qui nous sont posées, ainsi que nos réponses.
Si vous cherchez les adresses de structures comme la nôtre, au plan national, consultez Drogues Info Service.
Retrouvez les questions les plus fréquentes qui nous sont posées, ainsi que nos réponses.
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Nous proposons pour la famille, l’entourage, les conjoints des espaces de soutien.
Des professionnels vous accueillent afin de vous aider et de vous accompagner dans votre démarche. N’hésitez pas à prendre rendez-vous. Il est plus facile d’aborder ces questions lors d’un entretien, plutôt qu’au téléphone.
Il ne sert à rien d’amener quelqu’un contre son gré à une consultation en addictologie. L’implication de la personne est nécessaire dans le processus thérapeutique.
Nous pouvons vous recevoir, vous en tant que parent.
Nous pouvons aussi vous recevoir avec les autres membres de la famille qui sont inquiets et d’accord pour venir.
La consultation est ouverte aux membres de la famille, qui sont disponibles. Si votre mari ne vient pas tout de suite, ce n’est pas un souci. Il pourra nous rejoindre, s’il le souhaite, plus tard.
Vous avez commencé à en parler avec lui, ce qui est très positif.
Si vous le souhaitez, vous pouvez prendre rendez-vous avec nous : Le Pélican propose une consultation « jeunes consommateurs », qui s’adresse aussi aux parents. Dans ce cadre, des professionnels sont à votre disposition pour échanger sur vos inquiétudes et vos préoccupations.
Dans un premier temps vous pouvez amorcer un dialogue et exprimer vos inquiétudes même si votre fille ne les partage pas. En fonction du dialogue que vous aurez pu engager, vous pouvez prendre rendez-vous dans le cadre de la consultation « jeunes consommateurs » et venir accompagnés ou pas de votre fille.
Oui, la consultation jeunes consommateurs est ouverte aux jeunes de moins de 21 ans qui s’interrogent sur leurs consommations, celles de leurs parents ou de leurs amis.
Nous envisageons de proposer très prochainement un groupe de paroles à destination des parents de jeunes consommateurs pour leur permettre de partager leurs expériences et pour échanger sur leurs préoccupations.
Dans un premier temps, nous vous conseillons à vous, comme parent, de prendre rendez-vous avec nous, dans la mesure où votre fils ne souhaite pas actuellement nous rencontrer.
Dans le cadre de nos consultations familiales, nous pourrons échanger ensemble sur la situation vécue par votre fils, et aussi par vous-même comme parent. Nous pourrons examiner de vive voix toutes les possibilités envisageables.
D’abord et si cela est possible, en parler avec lui, discuter de ce qui se passe, parler de vos inquiétudes à vous, l’inviter à consulter des professionnels, que ce soit son médecin généraliste ou un service spécialisé, comme au Pélican.
Votre mari peut prendre rendez-vous, seul et pour lui. Vous pouvez aussi, et s’il en est d’accord, l’accompagner dans cette démarche, qui le concerne et vous préoccupe aussi.
Si votre mari ne souhaite pas prendre rendez-vous, vous pouvez nous contacter pour venir en parler avec des professionnels auprès desquels vous pourrez poser vos questions et échanger sur ce qui vous préoccupe.
Passer du temps sur son ordinateur n’est pas en soi-même signe de dépendance ou de repli sur soi !!! Sinon, que dire des adultes « addict « à l’écran, au travail ou sur le téléphone portable….
L’évolution des nouvelles technologies génère de nouveaux modes relationnels, qui peuvent nous inquiéter légitimement…Ou pas….
Qu’un adolescent se replie n’est pas toujours mauvais signe car il peut pénétrer dans un univers personnel, un jardin secret, un terrain d’aventures…
Ceci étant, on ne peut répondre généralement mais il convient d’être attentif à chaque histoire vécue. Dans votre cas, vous notez une situation conflictuelle et un problème de limites, qui renvoie a minima aux règles familiales à la maison et aux modèles éducatifs.
Afin d’évaluer la situation dans sa globalité et avant d’opter pour des solutions radicales qui pourraient aggraver le conflit avec votre fils plus que le résoudre, nous vous proposons de prendre rendez-vous au Pélican. Un professionnel sera à votre écoute pour vous guider dans votre démarche.
Si votre mari fait l’objet d’une incarcération à la maison d’arrêt de Chambéry, contactez le Pélican Chambéry au 04.79.62.56.24. Si votre mari est incarcéré au centre pénitentiaire d’Aiton, contactez le Pélican Tarentaise au 04.79.37.87.00.
Sur le fond, vous notez à la fois une consommation d’alcool qui semble régulière et aussi une prise de risque social, au volant, qui pourrait mettre la vie des autres en danger. Ces observations ne pourraient que justifier une démarche de soins de la part de votre mari.
Consommer du cannabis est interdit par la loi et transmettre des limites aux jeunes est nécessaire à leur construction. Au-delà, il vous appartient en tant que parents responsables de définir le positionnement que vous souhaitez prendre par rapport à votre fils mais aussi à ses copains, susceptibles de venir fumer chez vous.
Etes-vous la seule à être au courant de la situation de votre frère, dans la famille ? A vous inquiéter pour lui ? Avec qui pouvez-vous en parler ?
Autant de questions à prendre en compte quand on est désarmé, comme vous l’êtes et que l’on cherche d’abord un soutien avec ses proches.
En avez-vous parlé avec votre frère ? Est-ce possible ? Ou non ? Refuse- t-il le dialogue ? Ou attend- il que vous lui en parliez ?
Nous sommes à votre disposition pour vous rencontrer et échanger autour de la situation de votre frère et des répercussions qu’il peut y avoir pour ses proches.
Vous exprimez au moins deux observations, qu’il convient de relever : il semble d’abord y avoir une difficulté à arrêter de consommer du cannabis, qui peut être le signe d’une vraie accoutumance, voire d’une dépendance. Il y a aussi la violence qui est alors manifestée à votre endroit et tout ce que cette violence peut entamer dans votre relation de couple.
Il est difficile de vous donner des conseils adaptés sans plus d’indications et sans vous rencontrer. Il conviendrait par exemple d’avoir les informations suivantes:
Afin d’évaluer la situation que vous vivez et qui vous préoccupe, nous vous invitons à prendre rendez-vous dans l’un de nos services.
Bien entendu et heureusement ! L’usager de drogues est un être humain, avec tous ses affects, ses envies, ses projets.
Par contre, la toxicomanie, au sens de la dépendance, implique souvent une relation forte, passionnelle, avec le produit et la nécessité de se le procurer, parfois au détriment des relations privées et des équilibres familiaux.
Nous ne pouvons que vous conseiller de bien clarifier ensemble ce qui est en jeu car les non- dits peuvent beaucoup compliquer la relation amoureuse.
En principe et si la personne est majeure, il n’existe pas de moyen légal pour l’obliger à se soigner. D’ autant plus que des soins en addictologie sans adhésion donnent très peu de résultats.
En cas d’urgence, de danger pour la personne ou pour son entourage, une demande de placement peut être envisagée. Il convient d’en parler alors avec votre médecin traitant.
N’hésitez pas à nous contacter car la mobilisation de la famille est importante et si la personne refuse votre aide, elle n’est sûrement pas insensible à votre mobilisation. En parler avec des professionnels, qui sont extérieurs à l’histoire familiale et individuelle de la personne, peut apporter des éclairages sur les difficultés rencontrées et les évolutions possibles.
Nous sommes à votre disposition pour plus de renseignements.
A notre connaissance, on n’a jamais décrit de cas d’overdose de cannabis qui ait pu mettre la vie d’une personne en danger comme c’est le cas avec l’alcool, l’héroïne ou d’autres substances.
Mais selon l’état psychique de la personne (tristesse, envie suicidaire), d’éventuelles poly consommations, l’usage de cette substance peut faciliter un passage à l’acte.
Pour autant, l’overdose est loin de constituer le seul danger d’une drogue et il peut se présenter d’autres conséquences néfastes pour l’individu, au plan social, familial comme sanitaire. Surtout pour un adolescent.
Nous ne pouvons que vous conseiller de dire vos interrogations à votre enfant et de ne pas hésiter à consulter pour des conseils et un éclairage en direct.
Les symptômes de l’alcoolisme sont le besoin compulsif de boire de l’alcool, l’incapacité à limiter sa consommation, la dépendance physique (symptômes de manque en l’absence de consommation) et la tolérance, c’est-à-dire le besoin constant d’augmenter les doses pour atteindre l’effet recherché. Ces symptômes sont souvent accompagnés de troubles physiques et psychologiques.
En soi-même, le fait que vous notiez une consommation importante d’alcool chez votre père constitue un motif légitime d’inquiétude et ne peut que vous inviter à vous mobiliser dans une démarche de soins. N’hésitez pas à prendre contact avec nous, pour en parler de vive voix.