Vous êtes un professionnel et vous souhaitez trouver des informations pour réaliser une action de prévention ou une formation au sein de votre entreprise (établissement scolaire ou autre), sélectionner votre besoin ci-dessous pour en savoir plus sur nos actions :

Actions de prévention pour les professionnels

Je suis un professionnel et je souhaite faire une action de prévention

Retrouvez les questions les plus fréquentes qui nous sont posées, ainsi que nos réponses.

Si vous cherchez les adresses de structures comme la nôtre, au plan national, consultez Drogues Info Service.

EN SAVOIR PLUS

FAQs

Comment réaliser une action de prévention sur les drogues ?

Notre approche de la prévention ne concerne pas que les drogues mais l’ensemble des addictions et des conduites à risque.

Plutôt que des actions, nous essayons de travailler des projets qui sont construits dans la durée, avec les partenaires et les publics concernés.

Notre approche de la prévention concerne autant les publics non consommateurs que ceux qui sont déjà concernés par une addiction. C’est pour cela que notre approche de la prévention peut constituer une ouverture sur le soin, pour des jeunes en difficultés.

La prévention se construit dans la durée, à partir d’un diagnostic partagé et fait l’objet d’une évaluation réalisée avec les publics et les partenaires.

Quels sont les publics de la prévention ?

Nous répétons souvent que la prévention est l’affaire de tous !

Nous réalisons des projets de prévention en direction de l’ensemble de la population d’un territoire et aussi des projets ciblés autour de publics spécifiques.

Concrètement, nous intervenons le plus souvent auprès des adolescents, des parents et pour former des professionnels.

Avez-vous des outils particuliers ?

Oui, nous avons différents outils permettant de mener des actions de prévention auprès des publics, notamment des expositions interactives.

Au fil des années, nous avons développé avec nos partenaires de nombreux outils. D’abord, des expositions interactives sur l’adolescence et les conduites à risque, regroupées autour du concept de Dédale De Vie, et qui se déclinent sous la forme d’expositions différentes : Dédale de Vie, Dédale au Travail, Educ.com, Vive la Perf !, Questions de saison, expositions qui sont présentées sur ce site.

Des flyers : « Ils mélangent tout ! » et « Ils gobent tout ! » sont aussi à la disposition du public.

Nous organisons à Chambéry, Albertville et à la demande sur d’autres sites, « les jeudis de la prévention », qui sont des temps de débats et d’échanges sur une thématique liée aux addictions et à la prévention, ouverts aux professionnels de santé, sociaux et éducatifs.

La plupart de ces outils sont réalisés avec des partenaires de la prévention, comme la Mutualité Française des Savoie.

Nous sommes à la disposition des partenaires, pour adapter ou concevoir des outils de prévention, en fonction des différents besoins.

Rappelons enfin qu’une exposition, aussi performante soit­-elle, n’est pas une action de prévention à elle seule. Le facteur humain et la durée sont des conditions nécessaires pour la réalisation des projets.

Quels sont vos territoires d’intervention ?

Principalement la Savoie, les territoires de Belley dans l’Ain et de Rumilly en Haute-Savoie.

Il arrive également plusieurs fois par an, que nous soyons sollicités sur d’autres sites, notamment pour les expositions de prévention.

Vos interventions sont-elles gratuites ?

Les interventions ont obligatoirement un coût car elles sont réalisées par des professionnels compétents dans ce champ et peuvent nécessiter l’utilisation d’outils comme les expositions Dédale de Vie.

Concrètement, le Pélican bénéficie de subventions des collectivités locales, des services de l’Etat ou de l’Agence Régionale de Santé, pour certains programmes.

Tout cela est à aborder lors du premier rendez-vous.

Notre établissement scolaire souhaite faire appel au Pélican, comment devons-nous procéder ?

Très simplement, il suffit d’abord de téléphoner et de prendre un rendez-vous avec nous, sur un de nos deux sites:

  • Le Pélican Préventions, à Chambéry,
  • Le Pélican Tarentaise, à Albertville (04 79 37 87 00).

Vous rencontrerez un de nos professionnels en charge de la prévention, soit dans nos bureaux, soit sur site, pour expliquer votre demande et votre souhait de prévention. A partir de ce premier échange, nous construirons ensemble et au mieux ce projet d’intervention, en fonction des besoins analysés, et en associant au plus près les partenaires, qui sont des personnes ressource, et les publics.

Des conventions annuelles et reconductibles sont passées avec certains établissements scolaires.

Pouvez-vous former notre équipe éducative sur un thème de prévention ?

Le temps dédié à la formation des professionnels est souvent une plus-value. Ces professionnels sont pour nous des personnes ressource dans l’établissement et à même de répondre aux questions éducatives posées par les publics accueillis.

Au-delà de la séquence de formation, ce sont des partenariats qui se mettent en place, qui permettent une connaissance réciproque, des actions en commun, et aussi le relais dans certaines situations problématiques. Il arrive souvent que suite à une action de prévention, telle infirmière scolaire, par exemple, nous contacte pour un jeune consommateur, que nous pouvons rencontrer au Pélican ou sur place, par exemple dans le bureau de l’infirmière.

Nous pouvons donc former vos équipes éducatives à la méthodologie de projet et à l’animation de séances de prévention. Nous pouvons être aussi amenés à travailler un ensemble de thèmes de fond concernant la jeunesse.

Nous sommes un groupe de parents, pouvez-vous participer à une soirée débat sur l’adolescence ?

Oui, bien entendu et nous ne pouvons que vous encourager pour votre initiative.

Les parents sont pour nous un public cible car ce sont eux les premiers à être confrontés aux questions de leurs enfants, à leurs éventuelles difficultés. Il est effectivement important de ne pas réduire nos interventions au thème des drogues, voire même des addictions, mais d’aborder l’ensemble des questions liées à l’adolescence.

Pour rappel, nous aimons dire que 80 % des adolescents vont bien, ceci afin de ne pas stigmatiser la jeunesse.

En concertation avec les parents demandeurs, nous pouvons participer ou organiser des soirées-débat ou des groupes de paroles sur ce thème.

Intervenez-vous seul ou avec d’autres partenaires ?

Nous pouvons intervenir seul ou en partenariat avec d’autre acteurs de la prévention, de la justice, de l’éducation, de la santé du médical ou du social.

Sur le fond, nous pensons que la prévention est d’abord une démarche partenariale et de nombreuses coopérations fonctionnent très positivement avec les différents partenaires.

Je suis enseignante et j’ai un programme scolaire, les addictions, pouvez-vous intervenir ?

Nous sommes à votre disposition pour vous recevoir et envisager toute condition de coopération.

Nous pouvons intervenir, complémentairement au cours que vous donnez, avec les élèves de votre classe, selon des modalités à définir ensemble. Ce peut être par exemple, un débat, qui aura été préparé avec les élèves, et qui reprendra des thèmes abordés pendant votre cours.

Toute demande individuelle est prise en compte, avec l’idée de l’intégrer à la dynamique de l’établissement.

Recevez-vous des élèves/étudiants ayant un travail à faire sur les dépendances ?

Oui. Les étudiants peuvent prendre contact avec nous auprès de notre secrétariat. Nous disposons en effet d’un fonds documentaire et des conseils de lecture ou méthodologiques sont apportés aux étudiants.

Nous avons une journée banalisée, pouvez-vous animer ponctuellement un atelier ?

Oui, cela est tout à fait possible.

Animer des ateliers de prévention fait partie de nos actions. Il convient par contre de prendre rendez-vous suffisamment tôt avec nous, au regard de nos disponibilités.

Sur le fond, nous sommes attentifs à ce que les projets s’inscrivent dans la durée et ne soient pas réduits à des actions évènementielles.

Quels sont les thèmes que vous traitez ?

Nos interventions se déclinent autour de quatre thèmes: les conduites addictives (avec ou sans produit) , la santé et la prise de risque, l’adolescence et les relations familiales, les aspects législatifs et réglementaires.

Concrètement, nous sommes amenés à parler des caractéristiques de l’adolescence, des relations parents / enfants, des addictions, des conduites à risque, des nouveaux comportements, des jeux vidéo, de l’usage d’internet, des réseaux sociaux, du téléphone portable, de l’autorité, des prises en charge des consommateurs de substances psychoactives, de la loi, de son application….

Autant de thèmes travaillés avec vous et à la demande des publics !

Nous organisons un festival de la musique. Pouvez-vous tenir un stand d’information ?

Le but de notre présence en milieu festif est de délivrer des messages de prévention sur les risques liés à l’usage des produits psychoactifs mais aussi sur les maladies sexuellement transmissibles, la conduite des véhicules ou les risques liés aux pratiques communautaires (piercing, tatouage…).

Nous pouvons aussi participer à une veille sanitaire sur les produits en circulation en diffusant des messages écrits d’alerte.

Pour répondre plus précisément à cette question, nous pouvons tenir un stand avec les objectifs suivants :

  • Sensibiliser aux conduites à risques liées à la fête (consommation de produits psychoactifs licites et illicites – rapports sexuels a risques- écoute de musique amplifiée),
  • Informer, écouter, dialoguer avec « les festivaliers »,
  • Proposer des modalités afin de réduire les dommages (éthylotests, préservatifs, bouchons d’oreille.)
  • Informer et orienter vers des structures spécialisées d’aides ou de soins.

Quelles actions sont envisageables en milieu scolaire ?

Pour prévenir les risques liés aux conduites addictives, les établissements sont encouragés à proposer des activités participatives de conduite de projets pour mettre les élèves en situation de résoudre des problèmes et favoriser leur aptitude à s’exprimer, s’affirmer, trouver des solutions…
Les responsables sont invités à mieux former et informer les adultes de l’établissement, quelles que soient leurs fonctions, sur l’adolescence, les conduites a risquent…
Enfin, la politique de prévention repose sur la mise en place de Comités d’ Education à la Santé et la Citoyenneté.

Le Pélican participe à plusieurs de ces comités dans les collèges et les lycées, avec un souhait de s’inscrire dans la durée et de proposer des projets construits avec la communauté scolaire et les élèves. Par exemple, nous participons à un programme d’actions inter établissements à Rumilly, depuis plusieurs années, en concertation avec la commune. Ce programme fait l’objet d’une évaluation régulière, utilise des outils comme les expositions Dédale de Vie et a amené à la mise en place par la Ville de Rumilly, d’un lieu d’accueil pour les jeunes et leurs familles, le RIPAR.

Je suis infirmière scolaire dans un collège et je souhaite organiser une action de prévention auprès d’élèves de 4ème sur les dangers face aux écrans ? A qui dois-je m’adresser ?

Selon le territoire duquel dépend votre établissement scolaire, contactez le Pélican Chambéry ou le Pélican Tarentaise. Vous serez redirigé vers le(s) professionnel(s) en charge de cette mission.

Concernant le thème que vous évoquez, nous sommes très sollicités par des groupes pour intervenir autour des addictions à l’écran mais aussi des abus liés au téléphone portable ou à internet, aux réseaux sociaux…

J’ai une action de prévention à mener, puis-je utiliser votre jeu Addictosphere ?

Oui tout à fait, l’outil Addictosphère a été créé par nos chargées de prévention. Il est adapté à tous les publics (jeunes, parents, addict avec produits ou sans produits, entourage…). Le jeu est livré avec un manuel d’utilisation et un livret pédagogique. Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre directement sur la page dédiée au jeu.

Je souhaite utiliser votre jeu Addictosphère lors d’une intervention de prévention puis-je le louer ?

Nous ne faisons pas la location du jeu, nous le proposons uniquement à la vente. Cependant des centres de ressources tels que les IREPS peuvent les proposer à la location, n’hésitez pas à vous rapprocher du centre le plus proche de chez vous. Concernant la vente, vous pouvez nous contacter à l’adresse contact@le-pelican.org

La formation du Pélican pour les professionnels

Je suis un professionnel et je souhaite faire une formation

Retrouvez les questions les plus fréquentes qui nous sont posées, ainsi que nos réponses.

Si vous cherchez les adresses de structures comme la nôtre, au plan national, consultez Drogues Info Service.

EN SAVOIR PLUS

FAQs

Comment réaliser une action de prévention sur les drogues ?

Notre approche de la prévention ne concerne pas que les drogues mais l’ensemble des addictions et des conduites à risque.

Plutôt que des actions, nous essayons de travailler des projets qui sont construits dans la durée, avec les partenaires et les publics concernés.

Notre approche de la prévention concerne autant les publics non consommateurs que ceux qui sont déjà concernés par une addiction. C’est pour cela que notre approche de la prévention peut constituer une ouverture sur le soin, pour des jeunes en difficultés.

La prévention se construit dans la durée, à partir d’un diagnostic partagé et fait l’objet d’une évaluation réalisée avec les publics et les partenaires.

Quels sont les publics de la prévention ?

Nous répétons souvent que la prévention est l’affaire de tous !

Nous réalisons des projets de prévention en direction de l’ensemble de la population d’un territoire et aussi des projets ciblés autour de publics spécifiques.

Concrètement, nous intervenons le plus souvent auprès des adolescents, des parents et pour former des professionnels.

Avez-vous des outils particuliers ?

Oui, nous avons différents outils permettant de mener des actions de prévention auprès des publics, notamment des expositions interactives.

Au fil des années, nous avons développé avec nos partenaires de nombreux outils. D’abord, des expositions interactives sur l’adolescence et les conduites à risque, regroupées autour du concept de Dédale De Vie, et qui se déclinent sous la forme d’expositions différentes : Dédale de Vie, Dédale au Travail, Educ.com, Vive la Perf !, Questions de saison, expositions qui sont présentées sur ce site.

Des flyers : « Ils mélangent tout ! » et « Ils gobent tout ! » sont aussi à la disposition du public.

Nous organisons à Chambéry, Albertville et à la demande sur d’autres sites, « les jeudis de la prévention », qui sont des temps de débats et d’échanges sur une thématique liée aux addictions et à la prévention, ouverts aux professionnels de santé, sociaux et éducatifs.

La plupart de ces outils sont réalisés avec des partenaires de la prévention, comme la Mutualité Française des Savoie.

Nous sommes à la disposition des partenaires, pour adapter ou concevoir des outils de prévention, en fonction des différents besoins.

Rappelons enfin qu’une exposition, aussi performante soit­-elle, n’est pas une action de prévention à elle seule. Le facteur humain et la durée sont des conditions nécessaires pour la réalisation des projets.

Quels sont vos territoires d’intervention ?

Principalement la Savoie, les territoires de Belley dans l’Ain et de Rumilly en Haute-Savoie.

Il arrive également plusieurs fois par an, que nous soyons sollicités sur d’autres sites, notamment pour les expositions de prévention.

Vos interventions sont-elles gratuites ?

Les interventions ont obligatoirement un coût car elles sont réalisées par des professionnels compétents dans ce champ et peuvent nécessiter l’utilisation d’outils comme les expositions Dédale de Vie.

Concrètement, le Pélican bénéficie de subventions des collectivités locales, des services de l’Etat ou de l’Agence Régionale de Santé, pour certains programmes.

Tout cela est à aborder lors du premier rendez-vous.

Nous sommes un groupe de parents, pouvez-vous participer à une soirée débat sur l’adolescence ?

Oui, bien entendu et nous ne pouvons que vous encourager pour votre initiative.

Les parents sont pour nous un public cible car ce sont eux les premiers à être confrontés aux questions de leurs enfants, à leurs éventuelles difficultés. Il est effectivement important de ne pas réduire nos interventions au thème des drogues, voire même des addictions, mais d’aborder l’ensemble des questions liées à l’adolescence.

Pour rappel, nous aimons dire que 80 % des adolescents vont bien, ceci afin de ne pas stigmatiser la jeunesse.

En concertation avec les parents demandeurs, nous pouvons participer ou organiser des soirées-débat ou des groupes de paroles sur ce thème.

Nous souhaitons sensibiliser nos employés aux risques alcool et stupéfiants, pouvez-vous collaborer à ce programme ?

Nous intervenons dans tous les milieux de travail (entreprises, collectivités territoriales, hôpitaux, administrations ou établissements publics) qui nous sollicitent, pour mettre en place des actions de prévention en direction des salariés.

Les thèmes abordés et les modalités d’intervention sont définis préalablement et selon les besoins repérés dans chaque établissement.

Nous organisons un festival de la musique. Pouvez-vous tenir un stand d’information ?

Le but de notre présence en milieu festif est de délivrer des messages de prévention sur les risques liés à l’usage des produits psychoactifs mais aussi sur les maladies sexuellement transmissibles, la conduite des véhicules ou les risques liés aux pratiques communautaires (piercing, tatouage…).

Nous pouvons aussi participer à une veille sanitaire sur les produits en circulation en diffusant des messages écrits d’alerte.

Pour répondre plus précisément à cette question, nous pouvons tenir un stand avec les objectifs suivants :

  • Sensibiliser aux conduites à risques liées à la fête (consommation de produits psychoactifs licites et illicites – rapports sexuels a risques- écoute de musique amplifiée),
  • Informer, écouter, dialoguer avec « les festivaliers »,
  • Proposer des modalités afin de réduire les dommages (éthylotests, préservatifs, bouchons d’oreille.)
  • Informer et orienter vers des structures spécialisées d’aides ou de soins.

Quelles actions sont envisageables en milieu scolaire ?

Pour prévenir les risques liés aux conduites addictives, les établissements sont encouragés à proposer des activités participatives de conduite de projets pour mettre les élèves en situation de résoudre des problèmes et favoriser leur aptitude à s’exprimer, s’affirmer, trouver des solutions…
Les responsables sont invités à mieux former et informer les adultes de l’établissement, quelles que soient leurs fonctions, sur l’adolescence, les conduites a risquent…
Enfin, la politique de prévention repose sur la mise en place de Comités d’ Education à la Santé et la Citoyenneté.

Le Pélican participe à plusieurs de ces comités dans les collèges et les lycées, avec un souhait de s’inscrire dans la durée et de proposer des projets construits avec la communauté scolaire et les élèves. Par exemple, nous participons à un programme d’actions inter établissements à Rumilly, depuis plusieurs années, en concertation avec la commune. Ce programme fait l’objet d’une évaluation régulière, utilise des outils comme les expositions Dédale de Vie et a amené à la mise en place par la Ville de Rumilly, d’un lieu d’accueil pour les jeunes et leurs familles, le RIPAR.

Je souhaite organiser une formation avec votre association, avez-vous le label Qualiopi ?

Depuis 2023 nous sommes labellisés Qualiopi, ainsi si vous souhaitez organiser une formation avec notre association vous pourrez recevoir les aides financières nécessaires auprès de votre organisme de formation.